Les Lacandons
Ils se dénomment les "vrais hommes", Hala'ch Uinic. Cette ethnie / tribu est unique et mystérieuse.
Quelques hommes portent une longue tunique blanche et les cheveux longs non attachés.
Chassés de leur habitat naturelle car la forêt et les terres étaient exploités alors qu'eux étaient nomades, le gouvernement les a regroupé dans une zone.
Il faut d'ailleurs s'acquitter d'une taxe pour y entrer car ils ont gardé ou se sont octroyés quelques privilèges.
20$ mexicains = un peu plus de 1€
Rejoindre cette tribu oblige à prendre un bus collectivos de Palenque direction Frontera Corozal. 80$M par personne. La compagnie qui permet le trajet est juste avant le rond point à l'entrée de Palenque. Toutes les informations contenues dans le guide du routard étaient erronnées.
départ 9h30
Arrêt à San Javier à 11h45 après une longue route droite bordée de champs dédiés à l'élevage bovin.
Petite place où des taxis attendent. L'un d'entre eux est non officiel mais admis et surtout très présent. Juan vous attend.
Tarif officiel : 30$M/personne. Lui c'est 25$M. Compteurs bloqués même la jauge à essence. Mais le moteur tourne rond et la conversation est sympathique. Son phrasé comme la population locale est douce, trainante. Ils prennet le temps pour tout.
Arrivé au village de Lacanjà Chansayab nous nous arrêtons à l'un des lodgges. Prix 300$M = 20€
Sobres mais grandes et propres. Tous neufs.
Des cabanes près de l'eau
On peut y manger pour 100$M : crêpes fourrées au fromage , lentilles , salades verte et riz, café gratuit à volonté. Nous étions avec des mexicains en vacances, échanges riches.
petit déjeuner traditionnel : 15$M / pers avec le café=1€ !.
Promenade dans le village. Je cherchais des vélos : impossible d'en trouver... Quelques logements pour se loger, plus rares pour manger. Il faut véritablement le vouloir quand on est en solo. Plus enclin à accueillir les groupes.
Un Lacandon avec son fils. Rares à voir et surtout ils se cachent. Pour prendre une photo...
une petite fille
la rivière où se baignait un jeune garçon. Nous sommes peu restés car les moustiques nous ont bien apprécié.
Possibilité de randonner avec un guide sur trois heures dans la forêt. Chemin que l'on peut faire seul mais nous nous sommes égarés... Et personne pour nous renseigner. Désert !
Bonampak étant notre objectif, nous nous sommes focalisés sur le site objet de notre passage.
Ils se dénomment les "vrais hommes", Hala'ch Uinic. Cette ethnie / tribu est unique et mystérieuse.
Quelques hommes portent une longue tunique blanche et les cheveux longs non attachés.
Chassés de leur habitat naturelle car la forêt et les terres étaient exploités alors qu'eux étaient nomades, le gouvernement les a regroupé dans une zone.
Il faut d'ailleurs s'acquitter d'une taxe pour y entrer car ils ont gardé ou se sont octroyés quelques privilèges.
20$ mexicains = un peu plus de 1€
Rejoindre cette tribu oblige à prendre un bus collectivos de Palenque direction Frontera Corozal. 80$M par personne. La compagnie qui permet le trajet est juste avant le rond point à l'entrée de Palenque. Toutes les informations contenues dans le guide du routard étaient erronnées.
départ 9h30
Arrêt à San Javier à 11h45 après une longue route droite bordée de champs dédiés à l'élevage bovin.
Petite place où des taxis attendent. L'un d'entre eux est non officiel mais admis et surtout très présent. Juan vous attend.
Tarif officiel : 30$M/personne. Lui c'est 25$M. Compteurs bloqués même la jauge à essence. Mais le moteur tourne rond et la conversation est sympathique. Son phrasé comme la population locale est douce, trainante. Ils prennet le temps pour tout.
Arrivé au village de Lacanjà Chansayab nous nous arrêtons à l'un des lodgges. Prix 300$M = 20€
Sobres mais grandes et propres. Tous neufs.
Des cabanes près de l'eau
On peut y manger pour 100$M : crêpes fourrées au fromage , lentilles , salades verte et riz, café gratuit à volonté. Nous étions avec des mexicains en vacances, échanges riches.
petit déjeuner traditionnel : 15$M / pers avec le café=1€ !.
Promenade dans le village. Je cherchais des vélos : impossible d'en trouver... Quelques logements pour se loger, plus rares pour manger. Il faut véritablement le vouloir quand on est en solo. Plus enclin à accueillir les groupes.
Un Lacandon avec son fils. Rares à voir et surtout ils se cachent. Pour prendre une photo...
une petite fille
la rivière où se baignait un jeune garçon. Nous sommes peu restés car les moustiques nous ont bien apprécié.
Possibilité de randonner avec un guide sur trois heures dans la forêt. Chemin que l'on peut faire seul mais nous nous sommes égarés... Et personne pour nous renseigner. Désert !
Bonampak étant notre objectif, nous nous sommes focalisés sur le site objet de notre passage.
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